La vocation, c’est la possibilité d’exercer un jour sa passion…

 

Une passion qui s’éveille à l’âge de huit ans lorsque le premier confident de Jean-Sébastien est un piano, d’abord factice, faute de moyens.

De  curieuses   touches   blanches,   parfois   noires   aussi,   dessinées   généreusement sur  un  morceau  de carton.  Une  sorte  de  papillon blanc aux ailes noires qui annonce un printemps. Un cadeau de son grand-père, friand de Luis Mariano, qui parvient à faire voyager son petit fils aux confins du silence. Mais le silence  nourrit parfois l’ imagination…

Il sait déjà que la musique répond à bien des interrogations car elle est la langue des émotions… 

 

Jean-Sébastien, c’est un parcours classique à l’académie de musique de Mons, des  influences  musicales nombreuses, des parents qui bercent très tôt son quotidien de Bach, Mozart, Beethoven, Brassens, Brel, Béart…

 

Plus tard, c’est une culture musicale communautaire, propre à l’adolescence: Michel Berger, Michel Polnareff, Julien Clerc, Simple Minds, U2, The cure, …

Malgré une vie professionnelle  très  active , il  écrit  et enregistre  ses  premières  maquettes  en  2001  avec  l’aide de Philippe Navarre.

Il compose la musique et la plupart des textes. Des textes d’amour  mais  également des textes engagés contre les guerres de religion

( Betty Williams) ou contre les enfants soldats (Mourir avant de mourir).

 

Il y rajoute une note littéraire en mettant en musique un superbe texte d’Arthur Rimbaud:’sensation’ qui sera le titre de ce premier album.

La  poésie  et  la  littérature  lui  sont  chères. 

 

Il  projette  même  de  les  transmettre  aux  jeunes  générations en mettant en musique d’autres classiques de la littérature. 

 

C’est le début d’une grande aventure…